FRANÇOISE WATCHES Le premier bonheur du jour
Le premier bonheur du jour
C’est un ruban de soleil
Qui s’enroule sur ta main
Et caresse mon épaule
Françoise Hardy, Le premier bonheur du jour
Le ruban qui s’enroule sur la main dont nous parle Françoise Hardy sera aujourd’hui exceptionnellement une montre. Et la main, féminine. Françoise, c’est un des nouveaux moyens les plus agréables d’acquérir des montres dans la majorité féminines, et aussi vintage. Et derrière Françoise, prénom choisi pour l’imaginaire bien français (oserais-je dire parisien) qu’il charrie, de Françoise Hardy à Françoise Sagan, se cache non pas une Françoise, mais une Anne, dont nous allons vous parler aujourd’hui.
Si Anne a toujours eu un penchant pour la joaillerie et l’horlogerie, c’est un chemin de préparation en arts appliqués, architecture, design et une belle dose d’histoire de l’art qui perfectionneront l’esprit dont la passion se développe. Ce qui l’intéresse se rapporte principalement à l’approche historique des objets, aux savoir-faire utiles à leur conception ainsi que leur transmission, fait de haute importance ! Sans oublier le supplément d’âme qui distinguera ses montres favorites, des autres. Voir un bijou ou une montre atypique prendre forme à partir des matériaux précieux bruts et des mouvement de différents artisans créé chez elle une véritable émotion. Après un passage par quelques maisons de vente aux enchères et d’autres maisons, différentes cette fois, de luxe place Vendôme, se pose la question du futur.
Les proches autour d’Anne ont fini d’achever cet attrait pour les objets qui donnent l’heure et pour lesquels on développe une certaine folie. Mais alors qu’à un instant le parcours d’experte semblait une belle opportunité, des rencontres l’ont amené sur la voie de Françoise. En particulier celle de Charles, médecin et chercheur à la passion rigoureuse pour les montres, qui sera séduit par le projet, et qui aujourd’hui au quotidien exerce aussi sa thérapie sur les objets dont Françoise a le secret.
L’envie d’Anne est claire : toujours s’adresser aux femmes, même si quelques clients masculins trouveront leur bonheur dans certaines montres proposées. Leur offrir des grands classiques de l’horlogerie aujourd’hui est un pilier solide, entre les Tank de Cartier et les petites sportives Rolex, mais leur dévoiler demain des pièces de collection est en cours de construction, davantage vers des montres telles les Ellipse de Patek Philippe et autres Piaget où les cadrans en pierre règnent en maître et où l’or prend mille formes. Aussi, plus que de leur mettre un produit entre les mains, guider et éduquer les futurs clients.
La proposition nous a séduit. Et quant j’écris “nous”, je veux dire aussi bien les femmes que les hommes. Évidemment, certaines pièces résonneront comme davantage à l’aise sur le poignet d’une femme, je pense à une Tank minuscule, un petit modèle de Yacht-Master, ou encore la Piaget et son cadran en pierre. Mais la grande majorité des pièces se poseraient aussi bien sur un poignet masculin. Et pour tout comprendre, il suffit de regarder son poignet, habillé d’une jolie Tank dans une taille plus petite qu’à l’originale qui dévoile une jolie phase de Lune et la date, que l’on ne observe pas tous les jours.
Pour contempler les modèles proposés et pourquoi pas s’emporter, tout peut se passer sur Instagram ou le site de Françoise, avec si vous le souhaitez des rendez-vous en physique. Et toujours garder à l’esprit, que, le premier bonheur du jour est parfois de passer celle que l’on a choisie au poignet.
