NOMOS Metro or rose 33 La nouvelle venue en or de Glashütte !
Il y a quelques mois, nous vous emmenions sur les pas de la Manufacture Nomos Glashütte dans la petite ville de Saxe ou à Berlin où se trouvent quelques uns de ses bureaux. Une façon d’apporter une autre dimension au produit que nous connaissons déjà.
Aujourd’hui j’aimerais vous parler d’or chez Nomos. En particulier à travers une nouveauté : la Metro 33 or rose. Une pièce qui fait son apparition dans un métal que l’on ne voit pas tous les jours chez la marque, et qui même dans son diamètre pourra satisfaire les poignets masculins comme féminins.
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L’or chez Nomos
Il n’est pas commun de voir de l’or chez Nomos.
Pourtant, souvenez-vous, la marque avait fait parler d’elle avec les modèles Lux et Lambda. Deux pièces dans l’identité de Nomos mais se différenciant par de “gros” détails. Notamment celle des mouvements (suite à de plus amples collaborations avec Hellmut Wempe, propriétaire des boutiques éponymes) à la décoration sublime et au degré de détail façon haute horlogerie de Glashütte.
Quoi qu’il en soit, ces deux modèles étaient apparus en or. Par la suite, l’or chez Nomos s’est rendu plus accessible, notamment à travers la première Metro en or, la Neomatik 39, présentée en 2017.
Cette Metro or rose 33 n’est que la suite logique, d’autant plus que des modèles similaires existent déjà en acier (dans une taille de 35mm minimum toutefois), et vient enrichir la collection Metro d’une nouvelle proposition en or.
Nomos Metro or rose 33
Je sais ce que vous vous dites. Une Nomos en 33mm et en or se destine aux femmes. Figurez-vous que, comme de très nombreuses pièces chez Nomos, ce n’est pas une vérité.
Certaines pièces à la lunette large et en 33mm auraient en effet du mal à trouver leur place sur un poignet masculin, certes, mais ici, la lunette est très fine, le cadran argenté est clair, et l’ouverture est donc assez importante.
Ses détails permettent aussi de ne pas la mettre dans une case. Je pense notamment aux cornes “fils”, ou au quatuor merveilleusement agencé des aiguilles en or, des index des heures ronds couleur gris anthracite, des index des minutes violet, le tout sur fond argent. A dose homéopathique, tout est harmonie.
On retrouve à l’intérieur de ce boitier le “grand” Calibre Alpha, premier mouvement manufacture de la marque. L’entreprise en compte aujourd’hui 6. Au-delà de son succès face à l’épreuve du temps, et la fabrication en interne de l’échappement et son assortiment (plutôt très rare, même chez les grandes maisons aujourd’hui) on retrouve des décorations qui nous plaisent et visibles à travers le fond sapphir : surfaces plaquées rhodium avec nervurage de Glashütte et perlage propre à Nomos, ainsi que les rochets et roues de couronne à l’effet soleillage de Glashütte. À chaque ville ses finitions.
Sans oublier la précision chronométrique. Attention, rien à voir avec le COSC ici mais à des tests particuliers réalisés en Allemagne.
Un autre détail tue : la couronne et son crénelage diamant. Fin et fonctionnel comme on aime !
Une pièce livrée sur un bracelet en veau velour beige, qui met bien le boitier en avant, disponible à 5.300€. Je vous vois plisser un peu les yeux. Il faut simplement garder à l’esprit la force d’une manufacture qui produit tout en interne, des designs réalisés au ressort de barillet, et évidemment la présence d’or.
Détails techniques
Mouvement : Calibre Alpha (de manufacture) à remontage manuel
Réserve de marche : 43 heures
Dimensions : 33mm de diamètre; 7,7mm d’épaisseur
Boitier : Or rose
Étanchéité : 3 bars (Des éclaboussures, pas davantage)
Cadran : Galvanisé & argent
Bracelet : Veau velour beige, boucle ardillon à ailettes en or rose
Prix : 5.600€
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