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Portrait : Kevin Van Campenhout, Supercars et belles montres

Portrait : Kevin Van Campenhout, Supercars et belles montres

Continuons cette folle saga des portraits, pour toujours faire tomber le rideau qui nous sépare des lecteurs. Aujourd’hui, comme toujours, et après la délicieuse rencontre avec la motarde et femme de goûts Gaëlle Levy, c’est une rencontre originale dont j’aimerais vous faire part. Celle de Kevin Van Campenhout. Vous le connaissez peut-être comme l’amoureux des super-cars d’Instagram k.vanc (croyez-moi sur parole, ça serait une erreur de ne pas aller voir, ses photos sont particulièrement belles, et d’une grande qualité), présent sur de nombreux évènements automobiles. Mais il ne se “borne” pas qu’à cela. Présentations.

Kevin Van Campenhout, l’amoureux des automobiles de prestige

Portrait de Kevin Van Campenhout

Je tiens à commencer par un point crucial ici. Kevin a 25 ans. C’est aussi pour cela que nous avons été admiratifs du travail qu’il réalise, ainsi que ses goûts prononcés et naissants pour le monde de l’horlogerie. Quand la fougue de la jeunesse est présente, de surcroît aussi tôt, cela ne peut qu’attiser notre curiosité.

Il sera diplômé de son école de commerce fin septembre. Tout l’univers des possibles lui est donc ouvert, mais est-ce que la passion se prolongera dans la vie professionnelle future ? Ce qui est certain, c’est de développer une entreprise personnelle, continuer à faire des photos et animer des réseaux sociaux automobiles. Bel horizon.

Portrait Kevin Van Campenhout - Ferrari F50

Il a commencé enfant, et plus que simplement. Des magasines, journaux particuliers reprenant l’histoire de grands noms de l’automobile. Il se rappelle même qu’en 2005 , lors de vacances dans le Maine-et-Loire, il avait eu accès à une bible sur la Bugatti Veyron. Puis de ses vacances avec ses grands-parents dans le sud de la France, où son grand-père lui avait conté la longue vie des voitures italiennes, et de cette Countach LP400 ‘Periscopio’ jaune sur la couverture d’un magasine. Son histoire de famille raconte aussi qu’il y a un grand nombre d’années a existé un modèle de voiture du nom de Van Campenhout. Plutôt stylé.

Kevin aime l’automobile comme un grand nombre de personnes ici-bas. Mais ses goûts se portent plutôt sur ce que l’on ne voit jamais, sauf rares occasions bien choisies. Je veux parler de supercars, tels Porsche Carrera GT, de Ferrari Testarossa Cabriolet, d’Aston Martin One77, et autres Koenigsegg et Pagani. Vous saisissez les goûts “simples” de ce jeune homme ? Ce que l’on ne peut nier, d’une part, est la qualité graphique de ses clichés, qui ont une signature simple, mais unique. Et ce pour quoi certains grands collectionneurs et autres marques apprécient son travail. D’autre part, il faut avoir une audace parfois assez développée pour aller chercher la perle rare à quatre roues.

Sa sensibilité pour l’horlogerie est plus récente, mais ne pouvait qu’arriver à un moment ou à un autre. Quand on part du principe que des voitures rares, qu’il s’agisse de supercars récents ou de collection, sont des oeuvres d’art signature forte d’une marque avec une identité ancrée. Et preuve même du travail d’artisans qualifiés. La seule différence réside dans l’accessibilité plus compliquée au monde de ces voitures exceptionnelles. Il possède donc un petit trio intéressant.

Portrait de Kevin Van Campenhout

Commençons par une Autodromo Group B. Cela correspond un peu à ce qui l’anime. Une montre automatique, avec un esprit bien racé, qu’il aime porter avec le bracelet en tissu avec son cousu “Autodromo”. Une belle pièce, en accord avec son image.

Il possède aussi une pièce que j’adore. Une Omega Seamaster, automatique, mais dans un diamètre très contenu, car plus toute récente. Une montre qui passe bien partout, l’histoire de la seamaster n’est plus à écrire.

Enfin, sa dernière acquisition, une Rolex Gmt-Master II 16710 de 1995 dans un état incroyable. Il l’affectionne particulièrement, étant pour lui une icône, et chargée d’une longue histoire.

S’il ne devait en rester qu’une ?

Dur de choisir mais ça serait d’abord une voiture car cela procure des sensations exceptionnelles. Une auto, tout comme une montre, est une oeuvre d’art, un chef d’oeuvre même, mais l’une des différences réside dans le fait qu’une automobile procure de l’adrénaline et de l’excitation lorsque l’on est derrière le volant.

La seconde différence est simple, une auto est un objet roulant à deux places (au minimum), permettant de partir en week-end avec sa conjointe ou un proche et vivre des moments intenses. Elle créé de nouveaux souvenirs dont on aime se rappeler.

Pour la suite, je ne suis pas difficile, la voiture de mes rêves serait Pagani Zonda, Porsche Carrera GT ou Ferrari 50.

Pour la montre, étant fou de sport automobile, je reviendrais aux racines d’une certaine course Daytona, et rêverais de posséder une Rolex Daytona 6263 fond noir, d’une réelle présence avec son cadran Panda.

Une ville préférée ?

Londres, sans hésitation. J’ai eu la chance de vivre dans plusieurs villes ces dernières années. Paris, Dublin, Londres et Séoul. Je choisirais sans hésitations Londres, qui m’a marquée. C’est une ville précurseur, une ville pleine de magie et qui ne dort jamais. Il y a des quartiers pour toutes les envies et toutes les personnalités. Ce que j’apprécie également, c’est cette énergie et ce mix des cultures. Les gens s’apprécient et ne sont pas mal attentionnés.

En tant que passionné de voitures, c’est également the place to be. Tous les millionaires et milliardaires de la planète ont une résidence à Londres dans les quartiers huppés de Knightsbridge, Belgravia, South Kensington ou encore Nothing Hill. Le flux de véhicules de sport est juste démentiel et le parc automobile se renouvèle tous les trimestres. Il ne se passe pas un jour sans croiser les voitures les plus désirables et exceptionnelles de la planète comme les F40, Veyron, LaFerrari, Agera, Zonda (etc.) dans la rue.

Un plat, un cocktail préféré ?

Mon plat préféré : des spaghettis bolognaise (j’adore les pates bien faites). Un plat simple, certes, mais qui bien cuisiné prend tout son sens.

Je n’ai pas de cocktail préféré, je ne bois que du champagne !

Chocapics ou Miel Pops ?

Miel pops ! Pour les chocopic, je ne suis pas très chocolat donc avec un slogan pareil : “c’est fort en chocolat”, difficile d’apprécier…

Portrait de Kevin Van Campenhout

2 réponses à “Portrait : Kevin Van Campenhout, Supercars et belles montres”

  1. Benoît dit :

    Les belles voitures et les belles montres…
    Comme on aimerait détester ces futilités. Comme on aimerait se dire qu’il y a beaucoup plus de satisfaction à trouver dans un vers de Baudelaire, ou un verre de Bourgogne.
    Mais soyons honnêtes, nous n’arrivons pas à ne pas adorer ça, peut-être justement parce que ce sont des objets sans véritable utilité.

    • Nicolas dit :

      Bonjour Benoît,

      Détrompez-vous, par exemple, j’aime les belles voitures qu’elles soient anciennes ou récentes, ainsi que les beaux garde-temps,

      Mais je suis aussi un grand amoureux des vers de Baudelaire, et je bois les Fleurs du Mal et le spleen Baudelairien toujours avec la même passion. Ainsi qu’un grand nombre d’autres auteurs, classiques ou plus intimes.

      Tout est possible à condition de savoir où résident nos vraies valeurs,

      Excellente journée,

      Nicolas

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