PODCAST FIGURES – SAISON 2 ÉPISODE 7 Jérôme Burgert

FIGURES, le podcast que nous avons le plaisir de réaliser, est de retour pour l’épisode 7 de la saison 2. Nous avions la joie de partager le dernier épisode avec Mathieu Cesar, photographe de l’humain dans toute sa splendeur, sa profondeur, par la magie d’un noir et blanc retranscrivant la pureté émotionnelle de chaque personnalité.

Pour ce septième épisode de la saison 2, nous avons l’immense plaisir de recevoir notre ami de longue date Jérôme Burgert, co-fondateur de la marque de montres SERICA, amoureux de simplicité et d’objets conçus justement.

–

–

Si, 5 ans en arrière, lors de mon arrivée au sein de l’équipe Les Rhabilleurs, vous m’auriez dit un jour que nous créerions une chaîne de podcast, et que passerait derrière le micro notre ami Jérôme Burgert, j’aurais été étonné. Et pourtant. Depuis la rédaction en chef du magazine en ligne que vous connaissez, un long chemin a été parcouru. Car, si Jérôme a toujours essayé de mettre le doigt sur ce qui lui plaisait exactement dans un design de montre, chose on ne peut plus complexe, il a fini par s’essayer à cet art délicat. Une aventure nommée SERICA.

Une aventure qui ne s’est pas créée ex-nihilo mais qui a bénéficié d’une éducation longue, entre un amour de l’horlogerie, des proportions de certains objets importants ou de notes de musique brésilienne.

On vous donne rendez-vous dans deux semaines pour le 8ème épisode de cette nouvelle saison du podcast FIGURES. Pour nous trouver et nous suivre, rien de plus simple, vous pouvez vous abonner à notre chaîne sur Apple Podcast, Deezer et Spotify.

Si vous appréciez ces moments, n’hésitez pas à nous faire vos retours, commenter et mettre quelques petites étoiles.

RÉSUMÉ

1:48 – L’éloge de l’ombre

3:16 – Une sensibilité développée très jeune

6:01 – Le parcours de Jérôme, entre Baselworld et SERICA

15:41 – Le chemin vers SERICA

24:21 – On écoute quoi ?

30:43 – Un amour pour le Japon

38:41 – Quel est le regard japonais sur l’objet ?

46:28 – Les 3 questions de la fin