Vos questions / Nos réponses Episode 6

Vos questions / Nos réponses Episode 6

Vos questions et demandes affluent toujours, et nos réponses ne manqueront jamais à l’appel. Lors de l’épisode 5 de la série Vos Questions / Nos Réponses, nous avions parlé de marché gris, du pourquoi du nom de “Cosmograph”, de Tudor 58 (encore !) et de la marque Raketa.

Comme toujours, posez vos questions en commentaire de cet article et nous y répondrons dans le suivant. Mais qu’avons-nous de beau aujourd’hui ?

A quand un NATO deux parties ?

Pour répondre à ta question Maxime, il n’est pas prévu que nous fassions de NATO en deux parties chez Joseph Bonnie. Logiquement, il faudrait d’abord que nous réalisions un NATO classique en tissu avant de penser à faire un NATO en deux parties.

Mais nous ne voulons en aucun cas produire un n-ième NATO comme d’autres savent déjà très bien le faire. Nous voulons, de la même manière que le cuir et le design que nous utilisons pour nos bracelet de montres, d’abord trouver un tissu qui nous plaise et avec lequel nous pourrons réaliser un bracelet à notre goût. Pour qu’il vous satisfasse aussi.

Nous vous tiendrons au courant !

Révision des montres mécaniques

Voici l’autre question de Maxime :

“Toutes les combien d’années doit-on faire réviser une montre ?
Y-a-t-il un laps de temps différent entre 2 révisions en fonction des complications de la montre (chrono, diver ou encore régulateur) ?”

Si tu trouves une montre dans le tiroir qui appartenait à un de tes grands parents ou tes arrières grands parents, il y a de fortes chances que les huiles aient séché. Un petit tour chez l’horloger s’avère nécessaire, et il ne reste plus qu’à prier pour que les éventuelles pièces à changer soient facilement trouvables.

De manière générale, je dirais que peu importe la montre, qu’elle soit ancienne ou récente, qu’elle soit compliquée ou non, il faut savoir observer et diagnostiquer.

Quand l’on remarque que la montre commence à prendre plus de retard, qu’elle a besoin d’une impulsion pour que le balancier ne se mette en marche, on peut juger utile de l’amener chez l’horloger. Mais cela reste au choix, je sais que cela m’importe peu que ma montre prenne un peu de retard, je ne vais pas me précipiter vers l’horloger.

Skin divers des années 1960

Othman est tombé raide dingue devant le design des skin divers des années 60 mais se retrouve perdu devant la foule de marques connues et inconnues et sur la légitimité de certaines pièces.

Ses interrogations méritent un article complet que nous réaliserons par la suite. Mais, tout d’abord et en guise d’introduction pour ceux qui nous lisent, qu’est-ce qu’un skin diver ?

Définissons le parce qu’il n’est pas. Il n’est pas un diver “professionnel”. Les Skin Divers se sont développés dans les années 1960 à un moment où la plongée récréative battait son plein. Derrière les montres professionnelles Omega Ploprof, les Diver plus classiques comme la Submariner, se trouvent des plongeuses plus petites, plus fines et souvent moins étanches.

Ces plongeuses sont apparues avec l’explosion du nombre de montres de plongée. En effet, nombre de petites marques se virent obligées de garnir leur collection de quelques montres de ce genre assez rapidement.

Et petits budgets obligent, elles ne prirent pas trop de temps à développer des boitiers, de les rendre étanches à des plongées dans les abysses, etc. La majorité du temps, elles faisaient confiance à des Piquerez (célèbres pour la boite de la Heuer Monaco) et autres fabricants spécialisés pour créer leur montre de plongée.

Vous voyez, il y en a des choses à dire sur ces skin divers ! Pas d’inquiétudes, nous y reviendrions.

J’espère avoir jeté davantage de lumière sur les quelques interrogations que vous aviez pu avoir, et n’oubliez pas, vous pouvez poser les prochaines questions dans les commentaires de cet article !

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