Rolex Oyster Perpetual 39mm : nouveau classique intemporel
Intemporalité, fiabilité, robustesse et finitions exemplaires, autant de superlatifs dont on peut qualifier les pièces de la marque couronnée tant elles n’ont plus rien à prouver et sont immédiatement reconnaissables par leur simplicité. L’inventeur du boîtier et du bracelet oyster fait évoluer un classique, la célèbre ROLEX Oyster Perpetual… qui reste un classique. Explications :
Les montres Rolex ont cette particularité de s’être inscrites dans l’histoire horlogère au travers de ceux qui sont allés plus haut, plus loin, plus profond. Des exploits qui marquent les esprits et qui restent un gage de fiabilité sans pareil pour des pièces fonctionnelles à la qualité sans concession.
Parce que oui, Messieurs, Mesdames, les montres Rolex sont avant tout, malgré l’image luxueuse et malheureusement connotée que peut revêtir le port de la couronne en France, de véritables Tool-watches faites pour durer, qui défient encore aujourd’hui les petites statistiques du monde horloger.
Cette nouvelle Rolex Oyster Perpetual 39 ne fait pas exception à la règle, et c’est bien ce que nous aimons…
La boîte et le bracelet :
Le désormais très célèbre boîtier étanche oyster, inauguré en 1927 par la nageuse britannique Mercedes Gleitze, se gonfle en un moderne et présent 39mm, une taille selon moi parfaite qui allie présence, lisibilité et discrétion. L’acier 904L qui compose la boîte et le bracelet, n’est plus à présenter tant ses qualités de résistance et la beauté de son rendu, une fois poli ou brossé, sont connues de tous. Cela-dit, on ne s’en lasse pas.
Le bracelet oyster, sans doute l’unique bracelet acier dont je ferai les louanges et qui ne se retrouvera pas dans sa boîte le jour d’achat, au profit d’un beau nato cuir ou textile, allie robustesse, légèreté et confort. Entièrement brossés pour ce look fonctionnel et efficace, les maillons légèrement courbés épousent parfaitement le poignet et rétrécissent progressivement jusqu’à la boucle. Oui, ça change tout. Un ensemble fait pour durer, alliance parfaite entre la forme et la fonction aux antipodes de toute coquetterie esthétique.
Totalement à l’aise avec un costume au motif “bird’s eye” par un jour de pluie, elle le sera tout autant sur un sommet enneigé des Alpes (ses ancêtres ont vu l’Everest) ou une plage de Bahia (ses frères sont descendus au fond des océans… tout au fond). Performance et polyvalence au plus haut niveau.
Le cadran :
C’est là que le twist opère : trois aiguilles synonymes de simplicité, quintessence de la fonction. Heures, minutes et grande seconde centrale occupent ce cadran en rhodium bleu profond aux index des heures fabriqués en or blanc 18ct. Une touche de couleur supplémentaire, sportive et visuellement pratique, vient s’insérer au niveau des index des minutes marquant les intervalles de 5 par de petits carrés verts acidulés. Un dernier détail qui insère définitivement cette référence dans la sportivité sans jamais trop en faire.
La couronne Rolex à 12h en applique, ainsi que les typos d’une grande précision et finesse, terminent de compléter un ensemble esthétiquement harmonieux et fonctionnellement d’une grande lisibilité.
Le mouvement :
Le calibre mécanique Rolex à remontage automatique 3132 possède une architecture commune à tous les mouvements oyster, synonyme de fiabilité et de précision. Certifié chronomètre COSC bien évidemment, nous vous en expliquions d’ailleurs la signification dans un article il y a quelques jours.
Notre avis :
Vous l’avez sûrement compris, tant je pense ne pas avoir été capable de dissimuler mon engouement pour cette pièce. Très loin de cette (fausse) image de vecteur social bien malheureusement encore trop présente dans l’hexagone, Rolex nous présente ici encore un bel exemple de son savoir faire et de ses exigences extrêmes en terme de conception, construction et finitions de ses montres.
La preuve en est, j’ai eu la chance de visiter, totalement par hasard et pas plus tard que ce matin, leurs ateliers parisiens par lesquels passent toutes les montres devant être révisées. Cela se termine par des tests en conditions réelles, d’étanchéité par exemple, véritable parcours du combattant horloger. Cela laisse imaginer l’ampleur de ce que les pièces subissent avant de sortir des ateliers de fabrication…
Une montre fonctionnelle et polyvalente, robuste et élégante que j’aurais volontiers emmené avec moi au sommet de l’Annapurna pour vous démontrer le bien-fondé de mes dires… une prochaine fois peut-être.
Une dernière ligne pour conclure :
“Si vous ne deviez posséder qu’une seule montre pour le reste de votre vie,
ça pourrait bien être celle-ci…”
Je confirme ! J’ai cette montre et j’en suis fou!
merci pour le reportage!
Un texte qui ne tarit pas d’éloges et des photos absolument parfaites, de la mise en scene au choix de votre costume …. tout y est ! Bravo très bel article pour cette pièce d’une polyvalence exceptionnelle!
très beau reportage, Rolex malheureusement à une image de Bling bling mais qui au final n’est pas fondée car un non initié dans la rue reconnaitra plus facilement une festina couleur gold qu’une oyster ou dayto.
Lien découvert au hasard d’un partage Facebook ! Passionné de montres, je vous ajoute à mes favoris ! 😀
Il y a à peine 2 ans, j’ ai eu ” envie ” d’ une montre à cadran Bleu, pour aller avec mes Jeans et mes pulls Bleu Marine, une de mes couleurs préférées. Et, quasi par hasard, ai acheté cette Air King à Cadran Bleu, d’ occasion, chez Paris Heure, Rue du Bac. Celle ci m’ apporte toujours un petit Bonheur, quand je la choisis pour ma tenue du jour. Et suis Ravi de cet article,
Qui me conforte, dans le Bon Choix que j’ ai fait, d’ instinct, avec des moyens financiers limités
La, tout de suite, j’ ai ma Master Ultra Thin de Jaeger LeCoultre. Ce sera celle la, ma ” Dernière Montre ” avant de dire Adieu
J’ai le même modèle en gris et j’é suis ravie. Elle est très confortable à porter !
comme d habitude , essais au top , bien écrit …. entre une new explorer 1 et cette oyster perpetual , mon coeur balance….. tres belle montre en attendant .
Superbe,tout est dit.J’ai possédé une datejust que j’ai revendu après 10 ans car un peu petite 36mm;quand je l’avais achetée elle avait 40 ans et ne perdais pas une seconde.mais là en 39mm j’ai envie de craquer même si mes moyens ne me le permettent pas.