LONGINES MINI DOLCEVITA Classique, élégante, intemporelle

Le slogan de la marque Suisse dévoilé en 1999 n’a jamais aussi bien raisonné dans nos têtes : « l’élégance est une attitude » car oui, elle ne s’achète pas, elle ne se copie pas, elle ne s’apprend pas. L’attitude s’incarne mais surtout se comprend. C’est en prenant comme ambassadrice Jennifer Lawrence, actrice oscarisée, militante, qui s’est imposée dans son rôle dans Hunger Games mais surtout dont sa répartie, son énergie et incontestablement sa beauté a su nous séduire depuis plus de 15 ans alors qu’elle n’en a que 33 ! 

En incarnant l’image de Longines et de son élégance, la collection Dolce Vita prend tout son sens. Sa dernière création, la Mini DolceVita, incarne une forme d’intemporalité à laquelle chaque femme aspire. La Mini Dolce Vita va au-delà d’un simple accessoire, c’est aussi un bijou qui ne manquera pas de séduire les femmes dynamiques en quête d’un garde-temps qui s’accorde à chaque tenue.

Une nouveauté déjà intemporelle

La Mini DolceVita est une petite merveille qui fait une arrivée remarquée. Son design discret et ses variations esthétiques modernes en font un garde-temps classique mais puissant. Son inspiration provient de différentes sources. Le côté “brancard” de sa lunette est une belle signature de la montre, dans des formes que l’on trouve dans des pièces Longines très en vogue à la fin des années 1920 et pendant les années 1930.

La collection DolceVita, elle, a été présentée en 1997, et les premières pièces étaient davantage rectangulaires. Elle incarne à la perfection le concept de “luxe discret” qui commence à prendre de l’importance pour quelques marques de montre aujourd’hui.

Le boîtier rectangulaire en acier inoxydable de 21,5 x 29 mm abrite un mouvement à quartz L178. Et c’est bien comme ça quand une parle d’une montre dont le design compte avant tout, et surtout quand cela permet de garantir une épaisseur très réduite, et donc une belle élégance au poignet.

Une montre à la fois délicate mais présente par son boitier de forme, dont on peut apprécier un léger décor à cannelures de part et d’autre du fond de boitier. On remarquera le détail du cadran avec le “carré dans le carré” pour afficher la petite seconde, et d’autre part, le rond dans le rectangle … ce qui est personnellement la référence que je préfère. Disons que la référence avec le chemin de fer rectangulaire et son motif guilloché soleillé fait plus “classique” quand la référence au chemin de fer rond est plus contemporaine.

Pour les deux modèles que nous avons eu en main, on trouve donc une première plus “classique” avec son cadran flinqué, comprendre guilloché puis émaillé, avec sa petite seconde rectangulaire et ses grands chiffres romains peints bleus. L’autre pièce présente un cadran argenté mat avec sa minuterie chemin de fer ronde, des index chiffres romains peints et plus sages en taille. Dans les deux versions, nous adorons évidemment les aiguilles bleuies glaives, qui vont très bien dans l’ensemble.

Le bracelet en acier inoxydable inédit, composé de 198 maillons, souligne l’esprit joaillier de cette montre et offre un confort exceptionnel. Ce n’est en effet pas commun de voir ce genre de bracelet plutôt complexe dans sa réalisation, et il est à mon sens indissociable de la montre tant il lui va bien.

Un Éventail de Possibilités

La Mini DolceVita se décline dans une gamme de couleurs et de configurations. Certaines versions arborent un cadran Romain rectangulaire argenté au fameux décor flinqué. D’autres modèles voient leur lunette sertis de diamants et se parent de couleurs originales telles que le blanc ivoire, le vert menthe, le rose fleuri et le bleu serein, quelle appellation ! Chaque modèle est assorti d’un bracelet en cuir. 

En somme, la Mini DolceVita de Longines est bien plus qu’une montre, c’est un bijou assez intemporel parce que sobre, qui allie le raffinement classique à la modernité.

La nouvelle Longines Mini DolceVita est disponible dès aujourd’hui à partir de 1750€, pour la version au joli bracelet acier il faudra compter 2050€. Une montre simple, bien réalisée aux très beaux détails, avec une mention toute particulière pour son bracelet aux 198 maillons très bijou, que Nicolas a déjà essayé de porter en bracelet, et qui pour être honnête lui va franchement bien. Une pièce très “dandy” aussi, en fin de compte, qui nous ramène aisément dans ce qu’un homme aurait pu porter dans les années 1920 et 1930.