Sélection de montres vintage N°14 CHEZ JOSEPH BONNIE

OMEGA CONSTELLATION C-CASE LINEN DIAL

Il suffit d’un détail pour donner un beau supplément d’âme à une montre. Cette Omega Constellation « C-Case » et son cadran au motif lin couleur or en est l’exemple même. Mais ce n’est évidemment pas tout.

Ces Omega Constellation C-Case apparaissent chez Omega au début des années 1960. Cette dénomination est évidemment liée à la forme particulière de leur boitier. Ce modèle plus particulièrement a reçu un plaquage d’or, dans un très bel état, et qui s’accorde à merveille avec le cadran au motif lin à la teinte or lui aussi. On apprécie que cette Constellation soit accompagnée de son bracelet plaqué or Omega d’origine « brique ». Une pièce dans un très bel état esthétique et unique par son cadran à la texture lin.

OMEGA CONSTELLATION FLAT DIAL

Voici une Omega Constellation assez particulière et rare, que j’aime à appeler hybride. Hybride parce que pourvue d’un cadran « flat » que l’on retrouve sur des Constellation C-Case, tout en gardant un boitier de Constellation classique et certains détails des autres Constellation comme le cadran tritium.

Le détail qui nous plait le plus se rapporte aux cornes de forme lyre. Elles donnent de la présence à la montre et la rend élancée. Une caractéristique originale des montres de la collection Constellation, , tout comme la couronne signée à 10 pans. Son cadran est dit « flat » contrairement aux montres Pie-Pan, avec des éléments qui font songer aux Constellation boitier « C-Case » et leur index plus fins et la présence de points tritium. Ici tous présents et dans un état exceptionnel.

Une pièce dans un très bel état de conservation qui ne demande qu’à venir sur le poignet qui l’aura choisie.

LIP NAUTIC-SKI ELECTRONIC

Parmi les montres LIP, la Nautic-Ski est indéniablement une montre dont le visage nous est familier. Équipée d’un boitier de type compressor, on la reconnaît par ses deux couronnes striées, l’une à deux heures permettant de régler la lunette interne, et l’autre à quatre heures permettant les réglages de l’heure.

Son cadran est beau par son aspect brillant d’où se détachent bien les larges index luminescents et de forme rectangulaires qui abritent les chiffres aux points cardinaux, et de la matière luminescente partout ailleurs. On retrouve les écritures peintes en argent, et le petit éclair à six heures et sur le contrepoids de l’aiguille des seconde lollipop qui nous rappelle que son cœur est électromécanique.

Une montre révisée par un professionnel des montres électriques, et dont on ne se lassera jamais.

YEMA SOUS-MARINE

On ne présente plus les montres de plongée Yema, ses Superman et autres sous marine. Ici une sous marine qui se portera mieux hors de l’eau.

Une montre qui a le visage typique des montres des années 1970 par sa forme de boite C-Case. Si nous vous conseillons de la porter hors de l’eau, c’est un clin d’œil au fait qu’il s’agit davantage d’une montre de sport et de ville que de plongée, car elle n’en a pas les caractéristiques.

Une pièce dans un superbe état esthétique et d’une grande lisibilité, avec un cadran d’où ressortent de larges index en relief.