Marmotte Joseph Bonnie : Vos montres peuvent dormir tranquilles
N’ayez crainte, vous n’êtes pas sur National Geographic ou sur Arte, et je ne parlerai pas de rongeurs. National Geographic et Arte n’en sont pas moins deux chaînes extraordinaires. Non chers amis, je veux parler ici d’un moyen de conserver et ranger ses montres, de voyager en toute sérénité, de manière élégante, à la hauteur de vos garde-temps. Et c’est finalement le plus important, vous le savez, que de respecter nos montres. Vous voyez souvent les produits Joseph Bonnie que nous aimons de part et d’autre de nos clichés. Le pouvoir d’un bracelet en est la preuve. Mais il n’y pas que les straps dans la vie, démonstration en images, et avec le coeur, surtout.
De la nécessité de prendre soin de ses montres
Peu importe que l’on ait 16 ans et que l’on possède déjà quelques garde-temps qui nous tiennent à coeur, où que l’on ait 60 ans et une vie de collection derrière soi (et devant soi, encore et toujours), la question de “bichonner” ses montres se pose à chaque instant. À la maison, plusieurs choix s’offrent à nous. La traditionnelle boite de montre, plus ou moins grande, la pochette individuelle, ou la marmotte.
La boite de montre, si elle est bien choisie, représente la pointe de l’élégance, et peut même devenir un objet de décoration de goût. Sans oublier ce sentiment incroyable, quand on soulève délicatement le couvercle. Mais on ne la déplace que très rarement.
Viennent ensuite des pochettes de montre, pour ranger une seule montre généralement, souvent dans une suédine (à la manière de ses pochettes données par Rolex après un service), ou dans du cuir. Pratique pour la protection (quand il y a de la place pour le bracelet…) et le transport, cela va de soi, mais qui ne laisse pas trop de choix quant au nombre de montres que l’on prend.
Enfin, la marmotte. Un mélange entre les deux précédents objets. De quoi mettre plusieurs montres, et les transporter. Souvent un long morceau de cuir, robuste, avec plusieurs compartiments, que l’on roule avant d’en serrer le lacet. Dans le sac, et le week-end peut commencer. Ou tout simplement une rencontre entre collectionneurs. C’est sur ce produit simple d’apparence que nous avons voulu travailler, afin de proposer sur notre shop Joseph Bonnie un objet qui parle par lui même.
La marmotte était à l’origine une petite malle dont une partie s’emboitait dans l’autre, utilisée par les colporteurs, voyageur ou encore placiers, pour transporter divers objets et échantillons. Et les déballer comme les ranger avec rapidité et efficacité.
La marmotte Joseph Bonnie ‘Montgomery’
Nous nous sommes posés les bonnes questions.
Le but premier d’une marmotte est de protéger et soigner nos montres. Il faut donc choisir de bons matériaux. Pour l’intérieur de la marmotte, en contact avec les boitiers de nos garde-temps, du feutre de laine français. Il s’agit bien de textile, mais il n’est pas tissé, c’est un agrégat de fibres de laine. Utilisé depuis la nuit des temps, car plus simple à réaliser que le tissu tissé, plus imperméable, isolant. Il a même servi, dans l’histoire, à remplacer le cuir, jugé trop cher, et pas forcément la meilleure protection contre eau et neige, paradoxalement. Il est l’écrin idéal pour un boitier de montre.
Mais le feutre ne fait pas tout. À l’extérieur, de la toile cirée provenant d’Écosse. Vive l’Europe. Pourquoi ce choix de matière ? C’est simple. Une toile robuste, qui isole bien de l’humidité. Et qui ne coûte pas une fortune, ce qui explique que la marmotte ne soit pas à un prix délirant. Surtout quand on défend l’accessibilité des montres aux plus jeunes. Et puis, vous ne me direz pas que la toile cirée n’a pas un “méchant” style, à la fois de guerrier écossais, aviateur pionnier de la Royal Air Force ou encore de lord chasseur anglais à la moustache longue et affutée.
Le feutre de laine et la toile ‘waxée’ sont assemblés, puis vient les sceller à jamais une petite bande de cuir en veau pleine fleur, à la fois sur les contours de la marmotte, mais également au niveau des espaces réservés aux montres. Enfin, une autre bande de cuir libre vient fermer la pochette une fois roulée. Easy.
Évidemment, et tant mieux, rien ni personne ne vous forcera à y ranger que des montres. Vous pouvez y mettre quatre montres, ou deux montres et deux bracelets, ou encore deux montres, un bracelet et quelques outils. Vous êtes libre, comme l’air.
Vous pourrez donc y ranger vos montres et bracelets à votre guise. Puis l’ouvrir, la refermer, encore et encore, et voir les matériaux, toile cirée comme cuir, se patiner à merveille. De la vie, en somme. Nous pensons et nous sommes fiers d’avoir créé une marmotte simple, avec une vraie utilité et rien de futile, pour 119€. Que vous passiez par chez nous pour la prendre, ou pas, elle reste l’objet indispensable de tout amateur de montre nomade.
Pour en savoir plus, la marmotte Joseph Bonnie se cache ici.