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Panerai Radiomir Black Seal : Test, Revue et photos avec Cresus.fr

Panerai Radiomir Black Seal : Test, Revue et photos avec Cresus.fr

Pouvoir emprunter une jolie montre, la porter quelques jours, faire des photos et la rendre à contre cœur devient notre petite routine à nous chez Les Rhabilleurs. Notamment depuis que nos deux trublions Lionel & Alexandre ont commencé à s’habituer à changer de montre toutes les semaines et, comme tout enfant gâté, m’envoient des mails insistants lorsque je n’arrive pas à trouver de quoi les satisfaire (#VDM).

C’est donc en accord avec notre partenaire Cresus que j’ai trouvé une solution que j’espère efficace à notre potentiel manque de stock horloger. Il a donc été convenu de réaliser une fois tous les deux mois une revue dédiée à un modèle mythique que Cresus propose à la vente sur son site (à découvrir ici).

Nous commençons aujourd’hui avec le modèle Panerai Radiomir Black Seal que vous présente Lionel et qui, vous verrez, comporte des caractéristiques spécifiques liées à cette appellation aux origines toutes aussi spéciales.

Je lui cède donc mon clavier et vous laisse entre ses mains expertes, en espérant qu’il vous traite aussi bien que le modèle qu’il vous présente ici.

Bonne découverte.

Gabriel.

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Quand on est Immortel, j’imagine qu’on sait des choses que nous autres, simples scribouillards des Internets, ignorons. Eux, ces sages de la langue française qui veillent au bon grain mais aussi à l’ivraie qu’Alexandre et moi-même aimons à cultiver entre ces lignes numériques, doivent être dans le vrai.

Quand, en plus d’être Immortel, on est « le plus jeune académicien », c’est certainement gage d’un immense savoir qui doit nous obliger. Jeune Immortel, c’est exactement ce qu’est Jean-Christophe Rufin ; et c’est en relisant hier soir Le Grand Cœur que j’ai enfin compris le sentiment mitigé que m’avait toujours procuré les Panerai.

En effet, j’étais tranquillement assis au coin du feu, dans un smoking d’intérieur de chez Le Nœud Papillon lorsque Jean-Christophe m’interpella : « A Florence, j’appris à faire la différence entre l’art des artisans, qui était d’un grand raffinement, et l’art des artistes, dans lequel se reflétait autre chose : le génie, l’exception, la nouveauté ».

Montre Panerai Luminor Black Seal

La citation de Rufin tombait sous le sens et mon Bolivar presque des lèvres. J’imaginais immédiatement le parallèle avec la marque Florentine qui n’avait jamais réussi à laisser chez moi qu’un entre-deux flou ; entre le bel ouvrage créé par une industrie horlogère ingénieuse et une vraie pièce d’art horloger imaginée par des artistes dans le berceau de la renaissance.

Cette indécision personnelle venant certainement de ma propre ambivalence par rapport à Panerai qui fait définitivement partie des marques qu’on adore détester… ou qu’on déteste adorer.

Panerai Luminor Black Seal revue

Pour creuser davantage, je filais chez Cresus pour convaincre l’aimable Alexandra de nous laisser essayer la fameuse Radiomir Black Seal.

Pourquoi celle-ci en particulier ? Simplement parce qu’elle porte en elle le véritable ADN de la marque et l’héritage de plus d’un siècle d’existence.

Et, têtu, je restais aussi saisi par le conseil de l’Immortel qui disait à juste titre, quelques lignes plus bas : « cet art-là peut se perfectionner mais, dans l’ensemble, il s’hérite ».

Héritage, c’est exactement ce qu’on ressent en passant la Radiomir au poignet. Pour les Paneristes, c’est d’ailleurs plus un mythe qu’un héritage.

Panerai Luminor Black Seal Mercedes

J’avoue humblement n’avoir pas tout compris à la gamme Black Seal. Intuitivement je m’attendais à ce que cette dénomination concerne uniquement la version en céramique noire (Black Seal … tu vois…).

En fait non, il s’agit en réalité d’une gamme qui renvoie aux modèles historiques de la marque. On retrouve donc le cadran lisible, la forme coussin, un joli croco couleur chocolat. Étrangement, pas de cadran sandouiche.

Une bizarrerie qui doit s’expliquer mais que j’ai eu la flemme de chercher je dois t’avouer…

Parce que ce qui m’a frappé en fin de compte, c’est le plaisir que j’ai eu à la porter, cette Radiomir.

Panerai Luminor Black Seal photo

Moi qui ai pu me moquer, à une ou deux reprises je l’avoue avec le rose aux joues, du culte Panerai au bras des bodybuilders, j’ai ravisé mon jugement et rabaissé mon caquet.

C’est une montre extrêmement bien finie, agréable à porter et, étrangement, d’une taille raisonnable malgré ses 45 mm de diamètre.

Arriere Panerai Luminor Black Seal

Couronne Panerai Luminor Black Seal

Je ne crois pas qu’on pourra réconcilier ici les Pro et Anti Panerai mais j’ai plaisir à partager ma propre expérience (alors que personne ne m’a rien demandé, j’en suis conscient) : je ne suis pas persuadé d’être dans la « cible » des acheteurs de Panerai, mais j’ai pris un grand plaisir à la porter et naviguer quelques heures sur la Seine dans la lumière froide d’un jour blanc d’automne.

Elle porte en elle l’héritage d’une belle maison qui a su prendre le tournant industriel et commercial qu’il fallait pour rentrer dans les rangs restreints des marques universelles.

« A l’immortalité[1] ».


[1] Sceau de l’Académie Française fondée par le Cardinal de Richelieu

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Retrouvez ce modèle Panerai Radiomir Black Seal sur Cresus.fr en cliquant ici

Et parcourez toutes les montres disponible sur www.cresus.fr !

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Panerai Luminor Black Seal Review

Panerai Luminor Black Seal Style

Style Panerai Luminor Black Seal

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