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Thierry Richard : Rencontre avec le Grand Duc !

Thierry Richard : Rencontre avec le Grand Duc !

La personne que je vais vous présenter aujourd’hui est un esthète, un hédoniste et un fin gourmet. Sa plume est toute aussi fine que ses papilles et il aime partager son univers et sa vision d’un certain art de vivre à la française avec qui veut le suivre et  l’écouter. Voici Thierry Richard, fondateur des Grands ducs…

Les Grands Ducs

Les Grands Ducs, c’est un magazine digital, un blog, mais aussi et surtout un club à l’anglaise dont les membres partagent une vision hédoniste d’un certain art de vivre masculin. J’ai personnellement découvert ce collectif de collaborateurs en 2014 au travers d’un article intitulé “NATO, c’est trop” (Ep.01 et Ep.02 à re-découvrir ici, pour le plaisir). Des contenus concis qui m’avaient déjà fait sourire, tant par leur justesse que par l’impertinence de leur écriture. Belles carrosseries, gastronomie, voyages et architecture mais aussi pretty ladies et horlogerie. Un univers très qualitatif qu’évidemment, nous aimons aussi beaucoup.

S’il en est devenu l’un des porte-paroles à la haute et intelligible voix,  Thierry n’est pas né trublion hédoniste de l’élégance à tendance Seventies. Laissez-moi vous le présenter…

Les débuts…

Thierry est entrepreneur, avant d’être journaliste, rédacteur, ou auteur de livres à succès, même s’il a toujours eu cette passion dévorante pour la gastronomie et l’écriture. Il fonde différentes entreprises dans les secteur des nouvelles technologies au cours des années 90. Le ratio work/fun n’est alors certainement pas à son paroxysme. C’est en 2002, après avoir revendu qu’il se lance dans le conseil en marketing et communication pour de grandes entreprises du secteur duquel il fut jadis l’un des acteurs. C’est cette période en tant que freelancer qui allait enfin lui permettre de se dégager un peu de temps pour ses passions. Des passions qui allaient prendre de plus en plus de place…

Thierry Richard - Portrait

C’est justement cette année là que sortent les premiers blogs en langue française. En 2006 il se lance dans sa première aventure éditoriale qui se nomme “Chroniques du plaisir”. Tout un programme. Il s’agit alors de revues de restaurants parisiens à la plume façon Delerm, auquel il ajoute quelques critiques littéraires et jeunes femmes très fraîches… La base des Grands Ducs n’était pas loin, pas loin du tout.

Quand la passion prend les dessus

A force de critiques littéraires et gastronomiques, il se fait repérer par le Guide Lebey auquel il contribue. 2012 signe le début des choses sérieuses avec la sortie de son premier ouvrage publié chez Hachette, sobrement intitulé “Paris pour les hommes”. Un carton plein. 16.000 copies écoulées et des éditions anglaises et chinoises plus tard, il embrayait déjà avec les numéro 2 : “Paris de tous les plaisirs”.

Ce deuxième ouvrage connaît également un certain succès, même si, à l’évidence, le fait de pousser un peu plus loin le curseur hédoniste et la présence d’un “cahier rose” en fait un ouvrage beaucoup plus niche…

Il est alors recruté par le site britannique TIMEOUT pour lancer son portail francophone. Une expérience très formatrice de rédacteur en chef pendant deux ans durant lesquels murit l’idée des Grands Ducs.

En 2014 naissent Les Grands Ducs, ce fameux club de gentlemen que l’on connaît aujourd’hui et qui fédère ceux qui, comme lui, aiment le bon et le beau. Un club à l’anglaise revisité qui compte aujourd’hui 300 adhérents et une communauté bien plus large. Je dis bien revisité car les femmes sont évidemment admises au sein du groupe, un groupe nomade qui se déplace sans être attaché à un lieux fixe. Leur Club House à eux, c’est Paris !

Et les montres dans tout ça ?

Si Thierry n’est pas un “Geek” de la complication, il aime évidemment les belles montres. S’il admire et reconnaît la technique et le savoir-faire horloger, ce sont avant tout simplicité, esthétique et histoire d’une pièce qui font vibrer sa corde sensible. Et ce n’est pas moi qui lui jetterais la pierre. 

Il aime changer de montre et les porte toutes avec le même plaisir, qu’il s’agisse d’une Reverso, d’une Panerai, d’une Tissot,  ou de sa montre de plongée Seiko. C’est aujourd’hui une vieille Omega Jumbo à la grande ouverture de 1950 qu’il porte à son poignet. Sobriété, simplicité et élégance. Un bon choix en somme.

Vintage Omega Jumbo

Sa femme a quant à elle une véritable passion pour les montres. Celle qui porte sa reverso sur bracelet acier lui avait d’ailleurs offert une Heuer Monza pour ses 40 ans. Une montre perdue un été, l’un des grands drames de sa vie…

Thierry Richard en quelques question non-essentielles

S’il ne devait en rester qu’une ?

La Heuer Monza disparue, je dois absolument en retrouver une… Sinon une petite montre Piaget en or, j’en suis tombé amoureux récemment, cela a certainement quelque chose à voir avec mon obsession pour les Seventies !

Le Portrait - Lorenzo Cifonelli - Piaget

Une autre passion secrète à partager avec nous ?

La nuque des femmes, même si ce n’est plus vraiment un secret pour ceux qui me connaissent ! Délicatesse, féminité, fragilité… c’est incroyable !

L’autre pays où tu te sens chez toi ?

L’Italie, j’ai un véritable attachement pour ce pays. Ma mère vient du Piémont. J’ai récemment découvert les îles de la baie de Naples qui représentent la quintessence de l’Italie que j’aime, la mer, et une nourriture extraordinaire.

Quel est le plus beau compliment qu’on puisse te faire ?

Plus que le compliment en lui même c’est la personne de laquelle il vient qui me touche davantage. Forcément lorsqu’on a une activité un tant soit peu publique, on apprécie les compliments sur son travail, mais ce n’est pas essentiel.

Ton plat préféré ? ( Trick question)

Compliqué ! Je vous dirais évidemment que les circonstances et le partage importent plus que le plat en lui même, mais s’il faut jouer le jeu, j’ai mes essentiels. Un risotto à la truffe, tout simple, accompagné d’un verre de Chinon blanc ou une blanquette de veau maison et un champagne rosé Roederer. Il n’y a pas grand chose à rajouter.

Tu es plutôt Chocapic ou Miel Pops ?

Chocapic pour mon fils, Hippolyte, et Miel Pops pour ma fille, Gabrielle. Moi en ce moment c’est plutôt Oeuf, jambon et fromage, je suis au régime !

Voici Thierry, un amoureux de la vie qui en connait les subtilités. S’il déguste fréquemment les grands plaisirs que cette dernière a à nous offrir, il sait surtout en apprécier tous les petits !


Pour découvrir l’univers de Thierry et de ses compères, c’est par ici !

2 réponses à “Thierry Richard : Rencontre avec le Grand Duc !”

  1. Peynet Briac dit :

    Bonjour,

    Savez-vous où se procurer ce superbe bracelet qui habille la SKX ?
    Merci
    Briac

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